Mise au point
Suite à notre publication évoquant un malentendu entre deux substituts du tribunal de la commune lll et le commissaire du premier arrondissement, des responsables syndicaux nous ont formellement saisis pour apporter quelques précisions.
L’affaire se serait déroulée il y a deux semaines. Mais une chose est claire, poursuit un magistrat. Les policiers sont là pour la justice et ils doivent à tout moment être sous l’autorité des procureurs.
Pour un responsable du bureau syndical des magistrats, les substituts, en se dirigeant tout droit vers le violon, n’ont nullement enfreint la loi. Ils sont libres et sont dans leur droit d’effectuer des visites inopinées afin de voir la situation des personnes détenues.
Toujours selon nos nouveaux détails, les choses semblent rentrer dans l’ordre pour le plus grand bonheur de la justice. Toute collaboration entraîne parfois des incompréhensions et même des tensions qu’il faut savoir gérer.
Figaro du Mali